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paul-marie coûteaux - Page 5

  • La République et ses présidents...

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    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 88, janvier - février 2017).

    Ouvert par l'éditorial de Philippe Conrad ("La « monarchie républicaine » à la française"), le dossier central est consacré à la présidence de la République. On peut y lire, notamment,  des articles de Philippe Parroy ("Décembre 1848 : un prince devient président"), de Jean Kappel ("Être président sous la IIIe République"), de Rémy Porte ("Raymond Poincarré, le président de la Grande Guerre"), de Philippe Fraimbois ("Les déboires de Clemenceau et de Briand"), de Martin Benoist ("La présidence Millerand : gouverner depuis l'Elysée ?"), d'Yves Morel ("René Coty, second président de la IVe République"), de Philippe Conrad ("Le président élu au suffrage universel"), de Paul-Marie Coûteaux ("De Gaulle et l'introuvable légitimité républicaine").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un entretien avec Philippe de Villiers ("Faire de l'histoire autrement") ainsi que des articles de Jean de Viguerie ("Les Français face à la Grande Guerre"), d'Alain Paucard ("Insurgés canadiens contre Empire britannique"), de Pierre Le Vigan ("Une autre lecture de la guerre du pacifique"), de Maurice Faivre ("Jacques de Bollardière, compagnon de toutes les libérations"), de Constance de Roscourt (" et d'Emma Demeester ("Dumouriez, héros républicain ou «misérable intrigant» ? "), ou encore les chroniques d'Olivier Zajec, de Péroncel-Hugoz et de Philippe d'Hugues...

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  • Le clivage droite-gauche a-t-il encore un sens ?....

    Dans ce nouveau numéro de l'émission de TV Libertés, « Les idées à l’endroit », Alain de Benoist et Olivier Francois évoquent la question du clivage droite-gauche et de sa pertinence.
    Pour en débattre, ils ont invité sur le plateau :
    Marco Tarchi, politologue italien, professeur à l’université de Florence et chef de file de la « Nouvelle Droite » transalpine,

    Vincent Coussedière, professeur agrégé de philosophie, auteur d’Éloge du populisme ( Elya, 2012),

    Paul-Marie Couteaux, essayiste, ancien député européen.

    Christophe Geffroy, journaliste, directeur de la revue La Nef.

     

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  • Quelle Europe ?...

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    Le rêve européen s’est transformé en cauchemar. L’Union européenne traverse une crise de légitimité sans précédent. Et le spectacle qu’elle offre n’a rien pour enthousiasmer. Le sentiment le plus répandu est que l’Europe se construit désormais contre les Européens. Un sondage Ipsos a révélé que 70 % des Français souhaitent « limiter les pouvoirs de l’Europe ». Comment en est-on arrivé là ?

    À l’occasion de la parution du numéro spécial «Europe» de la revue Eléments n°151, la rédaction a le plaisir de vous inviter à participer au colloque «Europe-marché ou Europe-puissance ?», le samedi 26 avril prochain, qui aura lieu de 15 à 19 heures à Paris, à l'ASIEM (6 rue Albert de Lapparent 7e arrondissement).

    Invités du colloque

    • Eric Maulin, professeur à l’université de Strasbourg et vice-président du Forum Carolus,

    • Gérard Dussouy, professeur de géopolitique à l'université de Bordeaux,

    • Magali Pernin, spécialiste en droit public, animatrice du site contrelacour.fr,

    • Françoise Bonardel, philosophe, professeur à l'université de Paris Panthéon-Sorbonne,

    • Paul-Marie Coûteaux, essayiste,

    • Pierre Le Vigan, écrivain et journaliste d’Éléments,

    • Alain de Benoist, essayiste et directeur de Krisis et Nouvelle Ecole.

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  • Europe-marché ou Europe-puissance ?...

    Colloque éléments europe.jpg

    À l’occasion de la parution d'un numéro spécial «Europe», la revue Eléments a le plaisir de vous inviter à participer au colloque «Europe-marché ou Europe-puissance ?», le samedi 26 avril prochain, qui aura lieu de 15 à 19 heures à Paris, à l'ASIEM.

    Le rêve européen s’est transformé en cauchemar. L’Union européenne traverse une crise de légitimité sans précédent. Et le spectacle qu’elle offre n’a rien pour enthousiasmer. Le sentiment le plus répandu est que l’Europe se construit désormais contre les Européens. Un sondage Ipsos a révélé que 70 % des Français souhaitent « limiter les pouvoirs de l’Europe ». Comment en est-on arrivé là ?

    Invités du colloque

    Eric Maulin, professeur à l’université de Strasbourg et vice-président du Forum Carolus,

    Gérard Dussouy, professeur de géopolitique à l'université de Bordeaux,

    Magali Pernin, spécialiste en droit public, animatrice du site contrelacour.fr,

    Françoise Bonardel, philosophe, professeur à l'université de Paris Panthéon-Sorbonne,

    Paul-Marie Coûteaux, essayiste,

    Pierre Le Vigan, écrivain et journaliste d’Éléments,

    • Alain de Benoist, essayiste et directeur de Krisis et Nouvelle Ecole.

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  • Quand la gauche s'évapore....

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Paul-Marie Coûteaux, cueilli sur Valeurs actuelles et consacré au reniement par la gauche de ses piliers fondateurs...

    Essayiste, Paul-Marie Couteaux est notamment l'auteur d’Être et parler français (Perrin, 2006).

     

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    Quand la gauche s'évapore

    De qui doutait encore, l’affaire de la malheureuse Leonarda achève d’ouvrir les yeux : il n’y a plus de gauche française. Celle-ci a bâti en trois siècles une sorte d’imperium idéologique qui lui permit de conquérir peu à peu tous les pouvoirs, culturels d’abord, politiques ensuite, au point de se confondre non seulement avec la république au sens qu’elle lui donna (en opposition à la monarchie), mais aussi à la res publica plus classiquement définie comme le primat de l’intérêt général, c’est-à-dire du droit. Or, voici que la grandiose gauche pulvérise sous nos yeux les quatre piliers sur lesquels fut fondé son empire, la nation, le peuple, la laïcité et même, désormais, le droit.

    La nation ? Ce fut longtemps son étendard. Mais, déjà submergée par le vieil internationalisme mué en mondialisme béât, elle est à présent noyée dans les chimères de l’Europe supranationale et du sans-frontiérisme, au point que nos omniprésents gauchistes, absorbant toute la gauche, l’assimilent unanimement au nationalisme pour en faire une sorte de diable parfait.

    Le peuple ? Alors que la démocratie avait entendu faire de lui la seule source de légitimité, le voici mis en demeure de se dissoudre sous la masse des immigrés, nouveaux prophètes et réservoir inépuisable de voix, ce qu’il en reste se voyant condamné au silence sous peine de populisme, quand il n’est pas révoqué d’un trait parce qu’il vote mal — voir le traité de Lisbonne. Comment, de toute façon, construire une démocratie, dêmos-kratos, dès lors qu’est nié le dêmos ?

    La laïcité ? C’est peu dire que la gauche en récuse à la fois la lettre (quand ses élus s’empressent aux fêtes islamiques, financent des mosquées sur fonds publics, ou utilisent, tel Delanoë, les panneaux publics pour souhaiter un bon ramadan) et l’esprit : ne voit-on pas dans les services publics qu’elle dirige, nationaux ou locaux, soumis à l’insidieuse discrimination positive, les musulmans bénéficier d’une préférence systématique ? Sans parler de cette quintessence de la laïcité, qui entendait faire primer les valeurs de la connaissance sur celles de la croyance, et, corrélativement de la liberté d’expression, autre étendard victime du même suicide idéologique : à gauche, le souci de connaissance (notamment historique) recule de tous côtés, la croyance submerge tout.

    Soulevant des torrents d’indignation parce qu’un préfet applique la loi, l’affaire Leonarda montre ce qui reste du primat absolu du droit, dernier piler de la gauche dite républicaine : rien. Quand un garde des Sceaux disqualifie le principe même de la prison, indispensable instrument d’application de la loi, laissant en liberté des dizaines de milliers de condamnés faute de place en détention (comme s’il était impossible de construire des prisons, comme s’il ne s’agissait pas de la façon la plus civilisée de garantir le droit en lieu et place de la jungle partout renaissante) ; quand le maire du Xe arrondissement orne sa mairie d’un énorme bandeau en “soutien aux sans-papiers”, lesquels sont des hors-la-loi ; quand le président de l’“a-république” se ridiculise en refusant que la jeune fille rejoigne sa famille au Kosovo, récusant une expulsion le jour même où le rapport du ministre de l’Intérieur confirme qu’elle fut réalisée dans les formes légales ; quand la gauche à l’unisson (à l’exception du seul Chevènement protestant encore dans son coin) fait des gloses sur « la force injuste de la loi », dixit Mitterrand, maître en l’art de saper la République, on ne voit plus in fine ce qui reste du droit : cette gauche pour qui l’État n’est pas admis à appliquer la loi n’est plus qu’une vaste fabrique de l’anarchie, récurrent prurit qui traverse toute notre histoire et qui se réinstalle partout sur les ruines de l’État de droit. L’affaire Leonarda ne fait donc que révéler des bérézinas intellectuelles qui promettent à la gauche de belles déroutes électorales.

    La droite veut-elle retrouver quelque fondement ? Qu’elle ramasse les vraies valeurs de la res publica et l’on verra que, sous le chahut libertaire, la gauche, devenue antirépublicaine, est aujourd’hui bel et bien morte. D’ailleurs, il était temps.

    Paul-Marie Coûteaux (Valeurs actuelles, 24 octobre 2013)

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  • En hommage à Dominique Venner...

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    Vous trouverez ci-dessous quelques liens vers des hommages rendus à Dominique Venner, qui a choisi de se donner la mort mardi 21 mai 2013, dans le lieu hautement symbolique de la cathédrale Notre-Dame de Paris, « afin de réveiller les consciences assoupies » et de « rompre la léthargie qui nous accable ».


    Alain de Benoist : Dominique Venner, un homme qui a choisi de mourir debout


    Aymeric Chauprade : Dominique Venner a choisi la mort volontaire


    Laurent Ozon : Plus haut que le but


    Christopher Gérard : Exit Dominique Venner


    Pierre Le Vigan : Un samouraï d'Occident


    Alain Soral : A propos de la mort de Dominique Venner


    Christian Vanneste : Le sens d'un suicide ?


    Bruno Gollnisch : Un homme d'honneur, un homme debout dans la bataille


    Paul-Marie Coûteaux : Hommage à Dominique Venner


    Pierre Saint-Servant : Nous venons de perdre un père


    Philippe Christèle et Grégoire Gambier : La force de l'effet produit


    Alain Rebours : Une étincelle dans la nuit


    Enfin, vous pouvez écouter ci-dessous l'émission de Radio Courtoisie à laquelle Dominique Venner aurait dû participer mardi 21 mai dans la soirée aux côtés de Philippe Conrad, de Bernard Lugan et de Jean-Yves Le Gallou, qui lui ont rendu un hommage émouvant...


    Hommage à Dominique Venner par prince_de_conde

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